S’engager et réseauter pour confirmer sa posture entrepreneuriale

Avec mon parrain Passeport Armorique pour entreprendre, j’ai pu échanger sur mon projet. Il a été très à l’écoute et m’a donné des conseils y compris sur ma posture entrepreneuriale : il m’a conseillé d’être plus présente sur les réseaux sociaux, de sortir pour développer ma visibilité. Autant de conseils que j’ai suivis ; je l’ai d’ailleurs croisé lors d’expositions que auxquelles j’ai participé …
Par ailleurs, j’ai intégré l’IGR dans le cadre du Diplôme Etudiant Entrepreneur ; en parallèle de mes études d’histoire de l’art à l’Université de Rennes 2, je suis des cours indispensables pour le volet technique de mon projet. L’expérience avec YAO est plus récente : je participe à des cafés thématiques ; j’ai également une marraine qui est membre de Femmes de Bretagne. J’envisage d’ailleurs de rejoindre ce réseau social.
Les personnes qui sont dans le domaine de l’entrepreneuriat sont très à l’écoute, bienveillantes et vous encouragent. Tous les échanges et expériences que j’ai eus ont contribué à faire évoluer mon projet. Quand j’ai candidaté à Passeport Armorique pour entreprendre, j’étais centrée sur du mécénat. Aujourd’hui, je propose des expositions artistiques sur mesure pour les entreprises et je souhaite organiser des soirées événements : on échange bien autour d’un verre, pourquoi pas échanger autour d’une œuvre d’art? Le mécénat peut venir ensuite s’il y a envie de soutenir un artiste. L’événementiel va me permettre de décloisonner les univers.
Au début de cette année universitaire, j’étais juste une étudiante ; aujourd’hui, j’ai l’impression de pouvoir être beaucoup plus qu’une étudiante dans la société. C’est très valorisant et surtout, j’ai ddéveloppé une attitude : j’ai rréellement gagné en confiance en moi. Je conseille à tous les étudiants en art de sortir, de s’ouvrir ; ça fait du bien, on apprend à s’adapter à différentes situations… Personnellement, ces relations réseaux m’ont ouverte des possibilités. Et si le monde de l’art et les entreprises ne faisaient qu’un ?
